Pages vues depuis 23/04/2022 : 8 472 030
DE QUAND DATE LA CHOUETTE DE DIJON ? PAS SI SIMPLE À DÉFINIR…
Bertrand Carlier explique : “Personne ne peut dire d’où vient cette sculpture que l’on peut voir au coin de Notre-Dame ! Il y a aucun document qui donne le pourquoi du comment. Par contre, vu les nombreux documents que j’ai pu consulter, on peut imaginer la date de naissance de la Chouette : elle daterait du début du 15ème siècle.
Plus on avance dans le temps, plus on retrouve des écrits sur elle, notamment sur l’histoire et l’explication de la légende, de la superstition. Au fur et à mesure que les siècles, la Chouette gagne en popularité, la Chouette est utilisée à des fins politiques, elle est reprise par de nombreuses institutions ou sociétés (comme J’Aime Dijon !) pour finir comme lieu emblématique et incontournable de la ville de Dijon.
Publié le : Vendredi 19 mars 2021
Femelle harfang des neiges 1641-10224 remise en liberté le 21 février 2021 à Chouette à voir!. Elle a été baptisée "Victoria" par sa marraine.
Publié le : Samedi 27 février 2021
Madeleine a eu la chance de passer le confinement dans une maison dont le jardin était occupé par un couple de hiboux moyens-ducs .
Abonnée à La Minute Sauvage, elle m'a contacté pour que je réalise un épisode sur cette petite famille
Publié le : Vendredi 03 juillet 2020
C'est l’histoire d’un hêtre, malheureuse victime d’un coup de vent en 2018 dans le jardin de ville de Voiron, qui reprend vie… d’une autre façon.
Un arbre qui s’est transformé en un majestueux hibou grand-duc, à l’aide d’une tronçonneuse ! Pendant quelques jours, les Voironnais en balade, en pique-nique ou simplement de passage ont ainsi pu admirer le travail spectaculaire de Sylvain Dautremay.
L’artiste, qui a longtemps vécu en Savoie, et qui réside maintenant à Saint-Laurent-du-Pont, a fait de cet arbre une véritable œuvre d’art. Le choix de cet animal ? « Un clin d’œil au symbole du parc naturel de Chartreuse », précise l’artiste plutôt discret, qui travaille principalement pour des particuliers, mais qui, là, a œuvré sous la houlette de la Ville de Voiron.
Pour rendre les animaux plus vrais que nature, le sculpteur a un secret : il utilise les mêmes yeux de verre que ceux créés pour la taxidermie.
ledauphine
Le 20 juin 2020
Publié le : Lundi 22 juin 2020